Déclaration de l’homme et du citoyen de 1793, également appelée constitution de l’an 1, article 35 : «Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs».
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N'oubliez jamais :
« Et si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire tout ce que vous voulez. » Hermann Göring - Responsable de la création de la Gestapo
"Plus le mensonge est gros, et plus les gens y croient".
Goebbels - Ministre de la propagande Nazi
"Un mensonge répété dix fois reste un mensonge; répété dix mille fois il devient une vérité."
Préambule de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789
« Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. »
Chapitre 1 : Bas les masques
Citoyennes et Citoyens de la France ! La Patrie est en danger.
La criminalisation permanente des individus que nous sommes, par les structures de l’État et les médias, est constitutive de tyrannie.
Une des chaînes de la propagande vient d’annoncer que désormais le Procureur de la République pourra poursuivre pour : « mise en danger de la vie d’autrui » sans tenir compte du fait que ce délit, pour être caractérisé, se doit d’être fondé sur des preuves cumulatives…
Autre exemple , le projet de loi donnant les pleins pouvoirs au chef de l’État et son Premier ministre pour une période indéterminée, par pérennisation de l’état dit « d’urgence sanitaire » ; et qui sera voté en ce début d’année 2021.
Doit-on parler de la chaîne désormais interminable des confinements dont nul ne peut dire aujourd’hui quand l’actuel gouvernement entend y mettre fin ?
Le chef de l’État et son gouvernement s’essuient les pieds sur le Droit Républicain comme sur un paillasson.
Il faut à présent mettre l’État hors d’état de nuire au peuple français.
Il faut à présent mettre en demeure les structures de l’État de faire cesser le trouble manifestement illicite infligé à la Nation par son gouvernement.
Ce trouble porte le nom que la République lui a donné en se constituant. Ce nom est « la tyrannie ».
« L’urgence Sanitaire » est en train de devenir une maladie chronique de la République.
Le gouvernement est en train de commettre insidieusement un coup d’État au nom de la COVID ; et s’apprête à instituer la tyrannie comme un avatar de la République, à l’insu du peuple français.
Il convient de rappeler que l’âge moyen des décès attribués à la Covid est de 84 ans.
Que le virus s’attaque donc, aux dires des statistiques, à des personnes très âgées ou sous le coup de pathologies respiratoires graves et autres maladies mortelles comme le cancer…
Dans certains cas, certes, et nul ne le conteste, ce virus aggrave des pathologies multiples ! Mais n’est-ce pas le cas pour n’importe quel virus ?
Aujourd’hui, sur le site officiel du ministère de la Santé, on peut lire 71 342 décès Covid pour 65 millions de Français, cependant cela ne veut pas dire mort de la Covid-19.
Il y a d’ailleurs bien des questions sur les causes effectives de décès (mort du ou avec la Covid) pour permettre de calculer le taux de mortalité réel attribués à la Covid : cela représente 0,11% de mortalité.
Le taux de survie à la Covid-19 est donc objectivement de 99,89% (basé sur une cause de mortalité non confirmée).
C’est sur cette base statistique que l’actuel gouvernement entend, au mépris de la Constitution, du bloc de constitutionnalité, et des principes généraux du Droit, priver les citoyennes et citoyens français de leurs droits imprescriptibles, et donner les pleins pouvoirs au chef de l’État et son gouvernement pour une période indéterminée.
Par l’utilisation du système de Kelsen, la Constitution assure le respect de la démocratie en empêchant le législateur de promulguer des lois contraires à celles contenues par les textes fondateurs ; lesquels sont l’expression de la souveraineté du peuple. Ce point est fondamental.
Tout en haut de la pyramide de Kelsen, on ne trouve pas « l’urgence sanitaire » (concept inconnu au bataillon).
Ni, encore moins, « le principe de précaution » !
Pour lire l'intégralité de cet appel, cliquez sur le lien ci-dessous (PDF à télécharger) :
Bombe en Grande-Bretagne : 60 à 70% des victimes de la troisième vague seraient des patients… vaccinés
Graphe daté du 27 mars 2021
Chers amis,
La Grande-Bretagne, qui est le pays européen à avoir la plus grande proportion de sa population ayant reçu un vaccin anti-Covid, se prépare malgré tout comme ses voisins à prolonger les restrictions pour faire face à une « troisième vague ».
L’annonce a été faite cette semaine par le premier ministre Boris Johnson.
Doit-on y voir un échec de la politique de vaccination tous azimuts qui occupe actuellement l’ensemble de l’Europe ?
Eh bien, je vais vous surprendre, mais… ce débat est dépassé.
Une enquête parue dans le « Telegraph » – l’équivalent outre-Manche de notre « Figaro », où il est le quotidien le plus lu – fait une révélation fracassante sur les effets réels de cette vaccination.
Dénonciation de projections pessimistes
L’article est en langue anglaise évidemment, et il faut être abonné au « Telegraph » pour pouvoir le lire.
Si c’est votre cas, vous pouvez le consulter en suivant le lien indiqué en source[1].
Il est intitulé Pourquoi les modèles avertissant d’une troisième vague Covid au Royaume-Uni sont défectueux et affirme que « la plupart des données suggérant une augmentation des admissions et des décès à l’hôpital cet été sont inutilement négatives et souvent dépassées ».
Le journaliste scientifique qui a signé cet article dénonce le recours à des données obsolètes, ignorant le nombre réel de citoyens britanniques étant désormais dotés d’anticorps au coronavirus – à savoir, à la date du 14 mars, près de 55% des Anglais.
Cette immunité, précise-t-il, n’est pas seulement due au « succès » de la campagne vaccinale outre-Manche : elle est également due à l’immunité acquise par l’exposition au virus d’une grande part de la population.
Or, les projections – qui prévoient près de 60 000 morts – ont été faites avec un taux d’immunité de la population bien plus bas, autour de 34%.
Mais il y a plus inquiétant.
La majeure partie des victimes de la troisième vague seraient… des patients vaccinés !
Le Telegraph alerte sur un risque bien plus important de victimes de cette troisième vague parmi la population… vaccinée.
Dans le rapport établissant la modélisation, un paragraphe « enfoui » – dixit l’auteur – annonce en effet que « La recrudescence des hospitalisations et des décès est dominée par ceux qui ont reçu deux doses du vaccin, représentant respectivement environ 60% et 70% de la vague. » (c’est le passage surligné dans la capture d’écran).
Autrement dit : la majeure partie des décès Covid de la troisième vague concernent des patients ayant reçu leurs deux doses de vaccin.
Je ne sais pas si l’on doit se réjouir ou s’inquiéter du fait que cette information figure en toute lettre dans un rapport officiel, mais elle doit être diffusée.
Faites suivre ce message !!
Si cette information est confirmée dans les semaines qui viennent – et si elle n’est pas étouffée – elle constituera sans nul doute un gigantesque scandale sanitaire.
Je ne manquerai pas de vous tenir informé des suites de cette affaire.
Portez-vous bien,
Rodolphe
P.S. : il y a d’autres informations « officielles » dérangeantes relayées par cet article. La London School of Hygiene and Tropical Medicine estime ainsi que les deux doses adminsitrées de vaccin AstraZeneca ne réduiront que de 31% la diffusion du virus. C’est une projection pessimiste (d’autres organismes l’estiment à 64% en moyenne)… mais dans tous les cas, c’est bien en-dessous de ce que l’on est en droit d’attendre d’un vaccin.
[1] Why the models warning of a third UK Covid wave are flawed, Telegraph, Sarah Kanapton, 6 avril 2021
André Bercoff reçoit le Professeur Didier Raoult, auteur de « Carnet de guerre COVID-19-Le plus grand scandale sanitaire du XXIème siècle » (Editions Michel Lafon). Il répond à toutes les questions liées à la crise sanitaire : vaccination, variants, reconfinement.
« La grande pandémie du Covid-19 ». Christian Drosten poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR.
Par Jean-Michel Grau
Dans cette prise d’otages mondiale du Covid-19 manipulée par Klaus Schwab et ses acolytes du Forum de Davos, les rouages de cette gigantesque supercherie commencent maintenant à apparaître au grand jour. En d’autres termes, ce que l’on aurait appelé il y a encore un an « l’état profond » commence à montrer son vrai visage ou plutôt : ses visages.
Tout d’abord, à tout seigneur tout honneur : le grand architecte de cette machination criminelle : Klaus Schwab, le dirigeant fondateur du Forum de Davos.
Pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, rappelons brièvement qu’il est né en Allemagne en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum Economique Mondial (WEF) qui rassemble chaque année depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, parmi lesquels Jacques Attali, Emmanuel Macron, Angela Merkel, Christine Lagarde, Georges Soros, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockfeller.
Dans l’évolution de l’économie algérienne depuis 1962, je distingue les étapes caractéristiques essentielles suivantes.
D’abord, celle que l’on pourrait qualifier d’étape de la maturation des choix fondamentaux de développement économique de l’Algérie indépendante.
Ce n’est pas faire dans le détail que de rappeler, à ce propos, que l’Algérie était, sous la colonisation, un pays artificiellement maintenu dans la famille des pays développés et avec l’exode massif des Européens de 1962, brutalement, elle est apparue pour ce qu’elle était en réalité : un pays sous-développé.
L’Algérie qui rétablit, avec l’indépendance, sa « continuité avec le monde », le monde industriel compris, ne pouvait, donc, pour entreprendre son développement économique, embrayer sur nul acquis antérieur: ni industriel, ni entrepreneurial, ni managérial, ni technologique. Quelle voie s’offrait, dans ces conditions ?
J’espère que vous publierez mon commentaire sur votre blog.
Chère amie je vous cite « Je voudrais dire aux camarades qui, aussi blessés que moi ont quitté le parti, qu’ils prennent conscience des possibles qui s’ouvrent et qu’ils ne laissent pas passer cette chance parce qu’elle ne se renouvellera pas. Vous avez été injustement méprisés, humiliés par des gens qui consciemment ou inconsciemment détruisaient ce parti qui était l’essentiel de votre vie, vous n’avez pas renoncé à être communistes, il faut réfléchir à tout ça. Il faut que vous mesuriez que si ce parti disparaît aucun des satellites groupusculaires ne tiendra. Ce travail de maturation dont les communistes encartés ont été capables il faut que vous le fassiez aussi. Souvenez-vous “la nuit finit à Tours” : l’abandon des principes socialistes, l’opportunisme, la politique de collaboration de classes et de ralliement au nationalisme bourgeois livrent, par l’entremise des chefs socialistes de droite, la classe ouvrière à ses ennemis” (1). Aucun de nous n’a été épargné y compris dans nos résistances »
Je suis communiste bolchévik viscéralement et ne cesserai de l’être que le jour où je fermerai les yeux !!
L’accumulation de connaissances et de compétences, les forces productives générales du cerveau social, sont absorbés en capital vis à vis du travail et apparaissent donc comme une propriété du capital, et caractéristique du capital fixe !
En relisant, à l’occasion d’un post en réponse, un fragment des Grundrisse que j’ai retraduit du texte allemand, directement, pour le camarade René Sansa, je tombe sur cette phrase, dont je réalise que j’avais largement sous-estimé la portée :
« L’accumulation de connaissances et de compétences, les forces productives générales du cerveau social, sont ainsi absorbés en capital vis à vis du travail et apparaissent donc comme une propriété du capital, et caractéristique du capital fixe, dans la mesure où il entre dans le processus de production comme un moyen réel de production. »
Ce qui est donc, en fait, exactement la réponse nécessaire de Marx aux objections du camarade Vincent Gouysse, et d’autres, qui rejettent mon « interprétation » selon laquelle le travail intellectuel est, pour l’essentiel, objectivé dans le capital fixe, et donc logiquement « non productif », en termes de plus-value réelle et directe, mais bien seulement productif de valeur d’usage, via le capital fixe dans lequel il est objectivé.
Et d’autant plus, si replacé dans son contexte, qui justifie donc, ici et maintenant, cette republication.
Lutte des classes ou lutte des genres, des races, des religions...? (Suivi de : "Qui sont, et où sont les prolétaires en 2021 ?)
Le débat public est aujourd'hui marqué par d'âpres polémiques sur les questions mêlées de race, de religion et d'immigration, de genre, des inégalités et des discriminations...
Trois événements récents ont alimenté, y compris au sommet de l'État la tendance à faire de ces questions, celles centrales de la société française. Ainsi, en octobre 2020, le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, déclarait sur Europe1 que dans les universités, existerait un «islamogauchisme » qui ferait des « ravages ».
En février 2021, la ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l‘innovation, Frédérique Vidal, reprenait le flambeau de cette attaque portée contre l’université et plus largement contre la recherche académique sur CNews : « Moi je pense que l’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble et que l’université n’est pas imperméable, [elle] fait partie de la société ».
La ministre annonçait dans la foulée vouloir lancer une enquête sur « ce qui relève de la recherche académique et ce qui relève du militantisme et de l’opinion ».
A rebours, la présidente de l'organisation étudiante UNEF affirmait quant à elle que certaines réunions, pour parler des discriminations subies, sont organisées racisées, soulevant un tollé allant pour certains jusqu'à la demande d'interdire cette organisation.
Le 3 janvier, à Bounti au Mali, l’armée française a bombardé un mariage et tué 19 civils. Malgré une enquête rigoureuse de l’ONU, l’Armée française et la ministre de la défense continuent à nier, affirmant n’avoir visé que des djihadistes. L’horreur commise au nom de la défense de la démocratie.
Encore un mensonge d’État. Au même moment, le rapport d’une commission de chercheurs nommés par le gouvernement prouve la complicité de l’État français de Mitterrand avec les génocidaires rwandais. La Françafrique est décidément le visage le plus hideux de l’impérialisme français.
Nous sommes dominés, asservis et exploités par trois pouvoirs : 1-L'industrie et la finance, 2-les politiciens "énarques" et 3-les médias.
Ces privilégiés détiennent toutes les richesses alors qu'ils ne représentent qu'une infime minorité de la population.
Leur avidité et leur malveillance sont renforcées par la grande illusion dans laquelle ils se trouvent : pour eux, seule compte la course à toujours plus de produits pour toujours plus de consommation pour toujours plus de profits… pour toujours plus de guerres "justes", de limitation des libertés, d'exploitation des peuples et des "ressources" naturelles et au final la destruction de toute vie sur terre : c'est cela la réalité du capitalisme !
Ce phénomène est d'ailleurs en train de changer dans certains pays impérialistes en déclin, comme la France, où la production a été délocalisée et où la finance règne en maître, avec le crédit alloué par les banques centrales qui ne pourra jamais être remboursé ! Ce phénomène a été initié dès 2008.
Nous devons abattre cette avidité institutionnalisée (consumérisme, marchandisation et corporatisme), cette malveillance institutionnalisée (militarisme, domination politique et technologique des hommes et de la planète, guerre impérialiste) et cette illusion institutionnalisée (médias, manipulation et propagande).
Le capitalisme et sa globalisation n'est pas une chose naturelle, ni une nécessité, ni inévitable.
Pour sortir de la crise écologique, économique, politique et sociale nous avons besoin d'une alternative. Nous devons abattre le capitalisme !
Ce texte de Karl Marx est très important à étudier pour comprendre l’évolution actuelle du capitalisme à son stade impérialiste avancé, le développement de la robotisation et de l’automatisation, et déjà principalement sous l’emprise du pouvoir des Banques Centrales.
Pour Marx, la robotisation et l’automatisation apporteront, sous le socialisme, une libération supplémentaire des travailleurs en particulier pour les travaux pénibles.
Cela ne supprimera pas complètement le travail, mais donnera au travail un contenu plus technique, intellectuel, scientifique, artistique. Tous les travailleurs deviendront des personnes cultivées et à la pointe des innovations scientifiques pour le bien de l’être humain et dans le respect des équilibres écologiques (Les agrovilles permacoles de taille moyenne par exemple).
Ils permettront à tous de travailler moins et donc d’avoir plus de temps à consacrer à la vie de famille, à la culture, l’art et l’éducation, au sport, à la vie sociale et politique, etc.
A l’inverse, sous le capitalisme, cela va jeter un nombre exponentiel de travailleurs au chômage, les obligeant à vivre misérablement des « aides » sociales, et d’un « revenu universel » permettant tout juste de survivre. Cela plongera les grandes masses dans une pauvreté sans nom tant sur le plan matériel qu’intellectuel, culturel et social.
Voici tout juste un an s’amorçait, si l’on peut dire, le versant occidental de la « crise du covid », avec le plongeon des bourses, descendant d’un sommet où elles avaient réussi à se hisser au cours des douze années suivant la précédente crise, celle de 2007-2008.
Pourtant, et moins d’un mois plus tard, et alors juste au moment où l’économie connaissait l’un de ses arrêts les plus brutaux et complet de l’histoire moderne, elles recommençaient déjà leur ascension, qui ne s’est pas démentie depuis, rejoignant déjà, un an après, les sommets perdus, et les dépassant même, pour ce qui est des bourses US… !
Et cela alors même que dans la même période, l’activité économique, soumise au chaos des confinements-déconfinements-reconfinements et autres couvre-feux, enregistrait globalement une récession nette et également d’ampleur historique, tout simplement également « oubliée » depuis la précédente crise, et même, la dernière guerre mondiale, en fait.
Le 23 janvier dernier, les mass-médias affirmaient sans détour que la question n’était pas de savoir s’il y aurait un troisième confinement, mais quand il débuterait précisément : « Troisième confinement : ce n'est plus qu'une question de jours », titrait ainsi le JDD. Mais le prince est magnanime et souhaite en définitive attendre de disposer de tous les "éléments scientifiques" au sujet de l’efficacité de la première quinzaine de couvre-feu à 18 heures ainsi que l’étendue de la circulation du variant britannique du COVID-19.
Tel est le discours officiel tenu le 26 janvier par les principaux relais télévisés de Radio-Paris. Il n’y a guère que dans la presse écrite où l’on peut trouver un son de cloche un peu différent, au détour d’un article publié sur le site internet d’Europe 1, qui nous concède que la motivation première du report de l’intervention de Mr Macron provient du fait qu’ « il craint la réaction des Français ». Il s’agit ainsi « surtout » d’une « question de l’acceptation sociale » et d’ « état de l’opinion », que l’Élysée est aujourd’hui contraint de prendre en compte :
« Et les dernières notes des services de renseignement n’ont pas de quoi rassurer le chef de l’État. Elles soulignent toutes la lassitude grandissante des Français, dix mois après le début de la crise, avec une majorité de la population qui oscille aujourd’hui entre fatalisme et exaspération. Des Français qui dénoncent, de plus en plus, par ailleurs, l’incohérence de certaines mesures gouvernementales, comme l’instauration du couvre-feu à 18h, jugé inutile. Il faut aussi tenir compte du ras-le-bol des dizaines de milliers de restaurateurs, cafetiers et propriétaires de salles de sport fermés depuis bientôt trois mois, la dépression de l’ensemble du monde de la culture et la détresse de très nombreux étudiants. Tout cela est potentiellement explosif, glissent plusieurs conseillers d’Emmanuel Macron, qui observent, inquiets, depuis 48 heures, les émeutes aux Pays-Bas contre les dernières mesures sanitaires ».
François Asselineau revient sur les accusations qui sont portées contre lui en révélant certains des éléments décisifs qui démentent la version des plaignants et de la presse.
Ces éléments replacent cette affaire dans sa vraie perspective : la perspective politique.
Avec l’épidémie de Covid-19 et l’instrumentalisation politique qui en est faite par le pouvoir macronien, le temps des Gilets Jaunes semble déjà bien loin, et leur combat, qu’il avait déjà réussi à étouffer par la violence et la provocation, définitivement devenu une page d’histoire supplantée par la suivante, l’actuelle crise économique et sociale mise à bon compte sur le dos de l’épidémie, à grands renforts de « Quoi qu’il en coûte » et de « liquidités » abondamment déversées par les Banques Centrales, dont la BCE en Europe, et qui sont devenues les véritables maîtres du jeu de monopoly, alimentant sans cesse la partie que continuent de jouer, comme potentats locaux à leur solde, les différents gouvernements « nationaux », dont celui de Macron, en France.
Or non seulement cette « loi du quoi qu’il en coûte » subventionnée par la BCE ne règle en rien le problème sanitaire qui en est le prétexte, non seulement elle ne règle en rien les problèmes sociaux du « monde d’avant », que ce soient les revendications des Gilets Jaunes ou les besoins déjà criants de l’Hôpital Public, mais elle génère, sur le terrain, une nouvelle strate de misère qui vient se rajouter à l’ancienne, sans même ouvrir une simple perspective de répit dans cette descente aux enfers du banco-centralisme.
RAFISTOLAGE OU RÉVOLUTION ???… Une question ancienne, donc, et qui ressurgit dans les débats, malgré la passivité ambiante savamment entretenue par le pouvoir et fort bien secondé, en cela, par la gauche, « extrême » inclus, qui relaye, à quelques très faibles nuances près, le même discours…
Car au fil des confinements et couvre-feux qui se succèdent quasi sans interruption, voici bientôt venir le temps des élections !
Un premier sondage d’ « intentions de vote », testant différentes combinaisons de candidatures possibles, sinon probables, montre une grande « stabilité » du corps électoral, avec une Marine Le Pen en tête au premier tour, de peu devant Macron, les autres candidats étant tous largement distancés, et en net recul par rapport aux scores de leurs partis respectifs en 2017.
La droite « classique » serait entre 14 et 16%, Mélenchon dépasserait difficilement le cap des 10%, les autres candidats se partageant le reste…
A PROPOS DU DÉBAT SUR LE GRAND RESET, LES BANQUES CENTRALES, L’AUTOMATISATION , LA DETTE & L’ÉVOLUTION DU CAPITALISME…
Un texte du camarade VG (Et une réponse de TML en fin) :
Remarques préliminaires sur tes deux derniers textes
Cher camarade,
Voici quelques remarques (préliminaires) qu'appellent les deux textes très intéressants que tu as publiés récemment (superbes infographies sur la dette). On voit que tu as bien fouillé le sujet. Tu ouvres d'abord beaucoup de pistes, dont je pense avoir commencé à traiter ces dernières années.
- Tu remarques le transfert de plus-value provenant d'industries délocalisées à basse composition organique. C'est effectivement une tendance lourde inéluctable pour tenter de contre-carrer la baisse du taux de profit. "L'eau s'écoule toujours vers le bas" disent les élites chinoises depuis plus d'une décennie...
- Tu remarques aussi que la hausse de la composition organique du Capital induite par l'automatisation et la robotisation toujours plus poussées tend à faire s'effondrer le taux de profit, voire même à supprimer la production de plus-value.
Ce n'est qu'en partie vrai : la quantité de plus-value extorquée par le travail humain est proportionnelle au degré de la productivité du travail qui dépend en premier lieu du niveau technologique des outils de l'homme. Mais l'outil de l'homme (que ce soit une hâche ou une machine-outil CNC) n'est pas indépendant : il fusionne avec l'homme. Il est à la fois le produit et l'extension de sa main et de son cerveau.
« Great Reset » : le banco-centralisme est-il un « complot pervers » ou simplement la conséquence incontournable d’une évolution systémique ?
En introduction :
Quelques correspondances utiles sur le sujet…
THÈME PROPOSÉ PAR UN LECTEUR ANONYME SUR LE SITE VLR >>>
« Le « great reset » est une blague, l’état profond est une farce, du moins présentés tels qu’ils le sont, dans le spectacle inversé de la réalité du monde, soit par l’oligarchie elle même, soit par la dissidence youtubée auto proclamée. La fable du complot mondialiste, d’une plandémie méthodiquement exécutée, maîtrisée, par une synarchie toute puissante, consciente et active, nous est offerte comme un os à ronger, organise notre sentiment d’impuissance.
Le spectacle du coronacouillon universel nous désarçonne, que nous gobions la version officielle ou que nous adhérions aux thèses dissidentes. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’existe pas de lobbies, de corruption, de complots, de manipulations (et même de virus), et que tous ces personnages ne cherchent pas à survivre, à protéger les billes qu’ils ont mises de côté, quelles qu’en soient les conséquences sur le reste de l’humanité.
Cela signifie qu’ils ne maîtrisent ni l’agenda, ni le processus. Ils sont à l’image du patron qui délocalise son industrie. Lui reste le choix de la destination (Chine, Inde ou Maroc), mais délocaliser n’est pas une option, c’est un impératif de survie économique. Ou de la finance internationale obligée d’injecter de plus en plus de fausse monnaie pour tenter d’alimenter l’immense chaîne de Ponzi dont l’inévitable effondrement n’est qu’une question de temps.
Mais si l’oligarchie ne maîtrise pas son devenir industriel, commercial, financier, elle maîtrise encore moins la réaction populaire à ce qui lui reste d’autonomie dans la marche du capital.
2 PDF très importants : Par notre camarade VG >> Notions d'économie politique, les contradictions du capitalisme (2 PDF à télécharger) qui permettent de comprendre pourquoi le coronavirus est instrumentalisé par le système !
Lettre commune de Nicolas Dupont-Aignan, François Asselineau et Florian Philippot à Olivier Véran sur la situation sanitaire
[ndlr : nous ne partageons pas, bien évidemment, les solutions politiques de ces groupes, cependant, sur ce point précis nous sommes d'accord et cette initiative est la bienvenue, au vu de la grande débâcle de la "gôche" Kollabo !!!]
Le but de cet article est tout à la fois de mettre à la disposition des lecteurs des informations vues d'en bas que la grande presse ne fournit pas afin qu'ils puissent se faire un avis sur l'ampleur et l'importance du soulèvement indien et en même temps de soumettre quelques réflexions sur la dynamique de ce mouvement et ses implications mondiales.
Du 26 novembre au 8 décembre 2020, deux dates de grève générale, le soulèvement populaire associant paysans et ouvriers a été éruptif et torrentueux avec une dynamique quasi insurrectionnelle qui pouvait emporter à sa suite toutes les rébellions indiennes pour aller vers le renversement du gouvernement d'extrême droite de Modi.
Puis, les directions syndicales ouvrières et politiques d'opposition faisant faux bond, du 8 aux derniers jours de décembre 2020, le mouvement s'est stabilisé et « cantonné » à la lutte très déterminée mais des seuls paysans qui bénéficiaient certes d'une large sympathie des classes populaires et du monde ouvrier mais devenue pour celles-ci beaucoup moins active.
Cliché pris à Londres le 9 septembre 2020 (image d'illustration)
Le 03/01/2021
Sous écrous depuis le 11 avril 2019, Julian Assange a fait l'objet, en 2020, d'un procès houleux concernant son extradition vers les Etats-Unis. Quelle que soit son issue, celle-ci marquera l'histoire.
633, C'est le nombre de jours qu'aura passé Julian Assange derrière les barreaux de la prison de Belmarsh, au 4 janvier 2021, date à laquelle la justice britannique doit rendre publique sa décision concernant l'extradition du fondateur de WikiLeaks vers les Etats-Unis.
«Une décision [qui] ne marquera pas la fin du combat judiciaire : il est quasiment acquis que, quelle qu’elle soit, la décision fera l’objet d’un appel», notait Le Monde en septembre dernier.
En attendant, pas une chancellerie occidentale ne s'est indignée de l'affaire en cours, pas une n'a proposé l'asile politique à l'homme qui a participé à rendre possibles les fuites d'informations d'intérêt général les plus massives du XXIe siècle.
Que penser de la menace voilée de Macron sur Brut ?
En réponse à une question du journaliste de Brut sur les élections présidentielles de 2020, Macron a répondu « Peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures, parce que les circonstances l’exigeront et qui rendront impossible le fait que je puisse être candidat. » Une déclaration sibylline et quelque peu menaçante qui n’a évidemment pas du tout intéressé les médias officiels mais qui a fait couler beaucoup d’encre sur les médias sociaux et dans la dissidence, comme j’appelle tout ce qui met en furie l’Establishment.
Vrai ou fake
Je ne pensais pas que Sud radio faisait partie de la dissidence, jusqu’à ce que ce media soit épinglé par l’émission Vrai ou fake de France info, la TV de Macron. Cette émission s’est donné pour mission de ramener vers le droit chemin de la Pensée unique, les brebis égarées dans le « complotisme » (en clair, qui doutent des versions officielles). Ces fake journalistes, mais vrais propagandistes, vont, dans leur zèle, jusqu’à poser de malheureux lycéens-potiches sur le plateau pour les endoctriner en public et servir d’exemples à tous les jeunes qui seraient tentés d’écouter les sirènes de la déviance. Un spectacle écœurant !
« Et si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire tout ce que vous voulez. » Hermann Göring - Responsable de la création de la Gestapo
"Plus le mensonge est gros, et plus les gens y croient".
Goebbels - Ministre de la propagande Nazi
"Un mensonge répété dix fois reste un mensonge; répété dix mille fois il devient une vérité."
En Marche vers l'Euro Numérique de la BCE : monnaie sans billet, mais billet sans retour vers le monde orwellien banco-centraliste !
Par le camarade TML
Une étape importante, et même essentielle, de l’évolution banco-centraliste du système de domination de classe, comme substitut au capitalisme-impérialisme « classique », désormais en « bout de course » historique, par rapport à l’évolution des forces productives modernes, c’est l’établissement d’une monnaie « banque-centrale » unique, comme monnaie de réserve internationale, en substitution des monnaies « impérialistes » concurrentes, mais en réalité déjà interdépendantes.
Mais évidemment, le but « ultime » de cette évolution est l’établissement d’une monnaie mondiale unique et exclusivement numérique, excluant toute forme de « liquidité » qui ne soit pas directement contrôlée par le système banco-centraliste mondialisé.
Lutter contre la loi « Sécurité Globale », c’est évidemment une nécessité, mais est-ce bien la vraie priorité en regard de la « campagne de vaccination » qui se précise de jour en jour, et à une vitesse accélérée malgré les incertitudes flagrantes ?
Une loi, ça peut toujours être modifié, question rapport de force, mais pour ceux qui vont être vaccinés sans qu’ils aient réellement leur mot à dire, et notamment dans les EHPAD, cela peut être un billet sans retour pour le Valhalla du lobbying banco-centraliste mondialisé !
Un moratoire immédiat sur la vaccination à ARN « messager » devrait donc en toute logique devenir la revendication N°1 de tous les mouvements de protestation !
Ci-dessous, une vidéo qui résume et synthétise la problématique actuelle de la vaccination « proposée », mais en fait en voie d’être quasiment imposée, même si par des moyens détournés, et notamment pour les personnes âgées et dans les EHPAD.
A partir de 19 : le Dr. Fouché nous explique avec précision, mais de manière accessible à tous, ce qu’est le principe de la pseudo- « vaccination » à ARN « messager »… !!!
Par Dr Louis Fouché, Médecin anesthésiste-réanimateur à Marseille
Depuis plusieurs mois, la seule issue de crise du covid possible serait la vaccination des 7 milliards d’êtres humains peuplant la planète. Aucune autre voie ne serait possible. Attention, comme l’a signalé Mike Ryan de l’OMS, « il y a pire qu’un mauvais virus, il y a un mauvais vaccin » [1].
Comme nous l’avons déjà démontré, le Capital financier atlantiste a décidé d’utiliser la pandémie de COVID-19 comme prétexte d’un Grand Reset visant à sauver les meubles face à la contradiction majeure de notre époque : l’effondrement structurel inéluctable du marché intérieur des pays impérialistes occidentaux en déclin.
Leurs élites, totalement impuissantes face à l’émergence multiforme de l’impérialisme chinois et à la substitution du « consommateur chinois » comme principal stimulant de la croissance économique mondiale, une perspective assumée publiquement par l’ancien premier ministre J.-P. Raffarin sur CCTV-F le 8 avril 2009, ont décidé que le temps était venu de finir ce qui a été commencé il y a plus d’une décennie :
La destruction des chaînes dorées de l’esclavage salarié pour quelques centaines de millions de prolétaires occidentaux relativement privilégiés. En 2007, dans notre ouvrage Impérialisme et anti-impérialisme, nous insistions déjà sur les perspectives économiques et sociales structurellement défavorables :
« Il est essentiel de comprendre que dans les pays bourgeois-révisionnistes, l’octroi « d’acquis sociaux » de la part des exploiteurs dépend des conditions économiques internationales. La bourgeoisie d’un pays impérialiste puissant et dynamique peut accorder à ses travailleurs des « adoucissements » à l’exploitation. En revanche, une bourgeoisie dont les débouchés tendent à rétrécir de manière relative (par rapport à ses concurrents) ou absolue, fera tout pour réduire à néant d’anciens « acquis sociaux ». (…)
Le blog internet d’un patron français relatait récemment son entretien avec un homologue chinois. Il rapportait qu’au cours de la conversation, il avait lancé au patron chinois que dans quelques années la Chine aurait une législation sociale et des acquis sociaux comme en France. Le patron chinois lui répondit lucidement, non sans ironie : « certes, mais à ce moment vous les aurez perdu en France » !
Ainsi donc la conscience de classe de la bourgeoisie impérialiste est actuellement beaucoup plus aiguisée que celle de beaucoup de camarades se réclamant du marxisme-léninisme ! (…) En outre au sein des vieilles puissances impérialistes, la concurrence croissante avec cette dynamique puissance impérialiste provoque déjà, et va inévitablement de plus en plus provoquer, l’exacerbation des contradictions sociales au sein même des métropoles impérialistes où la bourgeoisie commence déjà à être contrainte de « faire tomber les masques » et de détruire elle-même la base matérielle de l’opportunisme ». (Ouvrage cité, pp. 301-304)
L’année suivante, la crise des subprimes éclatait, suivie d’une décennie ininterrompue d’austérité budgétaire à grande échelle visant à sabrer dans les dépenses sociales pour tenter de redonner de la compétitivité à la main d’œuvre occidentale tout en repoussant l’éclatement de la bulle de la dette souveraine…
Mais peine perdue : la « concurrence déloyale » livrée par l’impérialisme chinois permit à ce dernier de rester incomparablement plus compétitif, grâce à la rapide montée en gamme technologique combinée à l’accroissement vertigineux de la productivité du travail, tout en assurant plus d’une décennie de hausse aussi substantielle qu’ininterrompue des salaires, notamment dans les grandes métropoles industrielles.
Danger ! Des unités de cyberguerre informationnelle traquent, fichent et harcèlent les personnes sceptiques se posant des questions sur le vaccin anti-COVID-19
par Strategika 51 (Suivi de : "Pourquoi tout le monde semble-t-il avoir oublié comment fonctionne le système immunitaire ? Le « terrain », les nutriments essentiels, le Covid-19 et les vaccins").
Article de Stategika :
Des informations inquiétantes commencent à être diffusées en source ouverte sur la mise en place de « cellules de lutte cybernétique contre tout commentaire anti-vaccins » par les services de renseignements du Canada, des États-Unis d’Amérique, du royaume de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande . Soit les gouvernements des « Five Eyes » ou « Cinq Yeux ». (Et la France aussi, ndlr)
Selon un article du Sunday Times, le gouvernement britannique prépare une campagne d’information (désinformation) massive à destination du public pour convaincre la population d’accepter de se faire vacciner contre le COVID-19. Jusque là rien d’anormal. Ce qui frappe est le recours à l’armée britannique et plus spécialement la 77ème brigade de « défense culturelle » pour surveiller et contrer la propagande antivaccin sur le net.
Affiche du régime collaborateur de Vichy (1942)… Que de points communs avec les cibles de la situation actuelle !
Quand on parle du fascisme, ils est d’abord essentiel, comme pour l’étude de la réalité économique et sociale soviétique, de s’attacher à s’élever au-dessus des mythes colportés par les médias et l’enseignement bourgeois. De leur point de vue, le fascisme serait d’abord synonyme de nazisme, et serait également le frère jumeau du « communisme », et en particulier du stalinisme, qui serait également le fruit d’une démence humaine...
La naissance du fascisme ne serait pas inhérente au capitalisme, mais serait un « accident de l’Histoire » ayant émergé à cause de la prétendue folie d’un homme. On se garde bien d’expliquer comment cette folie a pu ensuite étreindre de vastes couches de la société allemande… Le fascisme serait caractérisé par le racisme (l’antisémitisme notamment) et la violence systémiques.
En bref, le fascisme est ravalé à une dimension aussi idéaliste que psychologique ignorant les forces structurelles économiques et sociales qui ont présidé à son émergence en tant que force politique de premier plan.
Selon la définition léniniste, le fascisme est la dictature terroriste ouverte du Capital contre les travailleurs. Aux sources du fascisme se trouve d’abord le capitalisme monopoliste qui a émergé après la crise économique mondiale de 1870. Cette crise a considérablement accru la concentration capitalistique et accélérée la formation d’entreprises monopolistes géantes, ainsi qu’aboutit à la fusion du Capital bancaire et industriel.
C’est la naissance du Capital financier qui acquiert dès lors un poids prépondérant dans l’économie des pays capitalistes avancés et dont Lénine a si bien analysé les tendances innées à la réaction dans L’Impérialisme, stade suprême du capitalisme.
Pour ces monopoles géants organisés à l’échelle de leur pays, la conquête des marchés extérieurs (approvisionnement en matières premières à bas coût et extension des débouchés pour les exportations), est devenue l’enjeu majeur de leur développement, afin de tenter de surmonter les conséquences économiques et sociales de la production marchande qui a témoigné, avec la naissance et la répression sauvage de la Commune de Paris, que le cadre national était devenu trop étroit pour permettre aux forces productives de continuer à se développer sans ruiner toujours d’avantage le prolétariat en aggravant les conditions de son exploitation, avec à la clef la périlleuse menace de l’explosion sociale.